À la fin du mois d’août, l’équipe Toy State Europe a été soudainement surprise. Le fabricant de Hong Kong a arrêté ses activités et presque immédiatement tous les employés ont été virés. "Ce fut un coup dur pour tout le monde", déclare Christophe. "Mais j’ai abordé la recherche d’un nouvel emploi avec une attitude positive. De plus, j'ai reçu beaucoup de soutien et de sympathie de la part de mes collègues et des relations du secteur des jouets. Et ça a fait du bien. "

Choix important

Christophe Magnus a commencé sa carrière dans le secteur des jouets en 1992 chez Tyco Toys. En 1998, il passe à Nikko (devenu Toy State), où il restera deux décennies. "Au cours de ces 25 années, j’ai réussi à construire un beau réseau au sein du secteur. Grâce à toutes ces relations, j'ai rapidement obtenu des offres intéressantes pour une prochaine étape de ma carrière. Je voulais prendre le temps d’y réfléchir, car c'est toujours une décision importante. Je ne suis pas un jobhopper par nature, alors qui sait, ce sera peut-être une course de vingt ans. "

Nouvelle catégorie de produit

Après avoir placé plusieurs options les unes à côté des autres, le choix final est tombé sur Smart. "Tout d’abord, c’est une entreprise avec de très bons produits. Au sein de ma famille, j'ai longtemps remarqué que tout le monde était très enthousiasmé par les jeux de Smart. En outre, il est également difficile de se lancer dans une autre catégorie de produits. Je J’ai l’habitude des jouets R / C, mais cela ne me fait pas peur de commencer pour un groupe cible différent et avec un mode de distribution légèrement différent. Enfin, les entretiens que j’ai eu avec le directeur général, Rolf Vandoren, ont été agréables et très inspirants.

Secteur unique

En tant que International Key Accountmanager, Christophe représentera désormais les marques SmartGames, SmartMax et GeoSmart. "J'ai commencé avec beaucoup d'enthousiasme. Je suis également très heureux d'avoir pu rester dans le secteur des jouets. J'ai toujours aimé ça. Au cours de ces 25 années, je n’ai jamais travaillé à contrecœur un jour. Et c'est un grand bonheur. Notre secteur a donc quelque chose de très spécial: l’atmosphère, la collégialité. L’enfant en chacun de nous peut toujours rester un peu présent", conclut Christophe Magnus.